MVR MATERIAUX, BIGMAT et SOCOREC : le trio gagnant

De la petite entreprise familiale à un groupe de dix agences BigMat implantées dans l’Eure et en Seine-Maritime, MVR MATERIAUX pèse aujourd’hui 50 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte cent soixante salariés. Son co-gérant, Guillaume LEVEBVRE, nous livre quelques-unes des clefs de son succès. 

Comment naît cette saga familiale ? 

Tout commence avec mon grand-père maçon qui participe à la construction de la ville nouvelle Val-de-Reuil dans les années 70. Sous son impulsion, une entreprise de distribution de matériaux voit le jour. La gestion est ensuite confiée à mon père, qui crée MVR MATERIAUX en 1984. Après mes études et un bref passage dans une entreprise concurrente, j’intègre l’entreprise familiale. En 2001, mon frère et moi reprenons la gérance et rejoignons l’enseigne BigMat. Après les rachats successifs des parts en 2003 et en 2006, nous déménageons notre siège social sur un nouveau site et passons de 600 m2 de bâtiment à 2000 m2. L’entreprise familiale prend alors son essor.   

Comment êtes-vous passé d’une à dix agences BigMat ? 

Je suis toujours à l’écoute d’opportunités et je privilégie les rencontres autour de valeurs partagées qui peuvent aboutir à un rachat… au bout de 5 ans ! C’est ainsi que je construis le maillage territorial de l’entreprise dans l’Eure et en Seine-Maritime. Mais sans BigMat, nous n’en serions pas là aujourd’hui. Nous avons bénéficié des conseils des anciens du réseau et d’un véritable partage d’expérience : l’ADN de BigMat est une vraie richesse ! C’est aussi le groupement qui nous a mis en relation avec SOCOREC. 

Quel est le rôle de SOCOREC dans votre stratégie de croissance ? 

La première intervention de SOCOREC remonte à 2007 lorsque nous souscrivons un prêt participatif : c’est une des clés de notre stratégie de croissance. Le prêt participatif SOCOREC renforce nos fonds propres pour équilibrer nos dettes lors du démarrage d’une activité et investir davantage. Ce financement haut de bilan rassure nos partenaires bancaires et les assureurs. Autre avantage : tout reste dans le groupe. Nous nous ne distribuons pas de dividendes à des actionnaires et restons les seuls maîtres à bord. 

Qu’appréciez-vous en particulier chez SOCOREC ? 

Depuis 17 ans, SOCOREC intervient dans nos montages financiers avec le prêt participatif, les prêts classiques et la garantie de prêt qui limite le cautionnement personnel du dirigeant. Nous avons depuis longtemps le même conseiller SOCOREC qui parle la même langue que nous : c’est très appréciable de nouer des relations fluides dans la durée. Nous n’avons jamais essuyé de refus chez SOCOREC parce que nos dossiers sont toujours bien montés. Je dis souvent que c’est le projet qui fait l’argent : il faut qu’il soit viable et qu’il ait du sens ! 

 

SOCOREC, partenaire privilégié de notre diversification

 

Avec le rachat du caviste LES CELLIERS DU GRAND LIEU en 2023, ATLANTIQUE BOISSONS NANTES, adhérent du groupement de distributeurs grossistes en boissons C10, renforce ses positions géographiques tout en s’ouvrant à la vente au détail. Une diversification accompagnée par SOCOREC, comme nous l’explique Fabrice Chiffoleau, dirigeant d’ATLANTIQUE BOISSONS NANTES. 

Pourquoi avez-vous fait l’acquisition de la société LES CELLIERS DU GRAND LIEU ? 

Le Covid et ses confinements successifs ont fragilisé toute la filière des Cafés, hôtels, restaurants (CHR) qui ont connu 6 mois de fermeture. Nous avons pris conscience de notre dépendance à un seul marché, celui du B to B (Business to business) et remis en perspective cette stratégie en nous intéressant au B to C (Business to consumer). Avec le rachat de la société LES CELLIERS DU GRAND LIEU qui fédère un réseau de 17 caves en Loire-Atlantique, Vendée, Maine-et-Loire, Charente-Maritime et dans la Vienne, ATLANTIQUE BOISSONS NANTES renforce ses positions géographiques tout en s’ouvrant à la vente au détail. 

Pourquoi avez-vous fait appel à SOCOREC pour financer le rachat ? 

Nous avons contacté plusieurs banques mais SOCOREC s’est démarquée par sa réactivité, sa compréhension fine du dossier et sa capacité à proposer un montage financier. Nous avons ainsi souscrit un prêt SOCOREC sur 8 ans, complété par un prêt bancaire. SOCOREC représente une complémentarité mais aussi parfois une alternative aux solutions proposées par les banques classiques qui agissent trop souvent comme en terrain conquis.  

Comment votre nouvelle activité de vente au détail va-t-elle influencer celle de grossiste ? 

Notre commerce de gros et celui de vente aux particuliers ont le même cœur de produits, les boissons. Avec les dix-sept points de ventes des CELLIERS DU GRAND LIEU implantés en milieu rural, nous aurons une connaissance plus fine des nouvelles tendances de consommation : nous pourrons ainsi mieux adapter notre offre de grossiste, tout en renforçant notre expertise. Nous souhaitons aussi développer la vente à distance, avec la création d’un site de e-commerce avec livraison et click & collect pour les particuliers et les professionnels.  La croissance externe nous offre l’opportunité de nous remettre en question ! 

 

SOCOREC, le maillon indispensable du bijoutier

C’est d’abord une histoire de famille, celle des Vannucci, qui créent en 1973 leur première bijouterie. Au fil des ans, parents et enfants développent leur entreprise jusqu’à posséder aujourd’hui neuf boutiques en Corse : 6 bijouteries et horlogeries sous enseigne JULIEN D’ORCEL et trois joailleries. Entretien avec François Vannucci.  

Comment la famille Vannucci est-elle passée de la boutique cadeaux à la bijouterie ? 

Mes parents, qui travaillaient dans le secteur du déménagement, changent de trajectoire et créent un magasin de cadeaux que j’intègre en 1978. Nous décidons de l’étendre à une bijouterie moyenne gamme. Mon père voit plus grand et décide d’ouvrir une bijouterie avec les plus belles marques horlogères et joaillières. Ma mère, elle, remarque l’enseigne Julien d’Orcel et découvre le commerce coopératif et associé. Dans les années 90, nous adhérons au groupement SYNALIA. Aujourd’hui, notre famille possède neuf bijouteries à Bastia, Porto-Vecchio et Ajaccio, couvrant l’ensemble du spectre de la bijouterie : entrée, milieu et haut de gamme. Désormais, les créations de Nathalie Frombolacci Vannucci sous la Marque Vannucci côtoient celles de la joaillerie. 

Quelles sont les principales évolutions du métier de bijoutier horloger ? 

En 15 ans, l’environnement de la distribution a beaucoup changé avec le développement de la vente en ligne. En 2020, le groupement SYNALIA a choisi de réconcilier commerce physique et e-commerce avec la mise en place de nouveaux services. L’enseigne JULIEN D’ORCEL propose désormais l’Order Instore (Commande en magasin), le Ship In Store (Expédition depuis le magasin) et le Click and Collect(Commande en ligne et retrait en magasin). Cette nouvelle approche améliore la satisfaction client, augmente les opportunités de ventes et génère des revenus supplémentaires pour les commerçants indépendants.   

Quelles sont les passerelles entre Julien d’Orcel et la joaillerie ? 

Nous suivons la ligne directrice donnée par la tête de réseau, sans pour autant renier notre identité de commerçant indépendant. Nous empruntons à la joaillerie son code vestimentaire pour offrir une image professionnelle, soignée, courtoise et attentionnée. Nous proposons un service de création de bijoux sur-mesure et un atelier d’entretien et de réparation pour les montres et bijoux. Nous avons également une politique RH différenciante qui propose primes, gratifications et challenges : nos collaborateurs forment des équipes soudées, motivées et heureuses.  

Comment avez-vous connu SOCOREC ? 

C’est le groupement qui nous a conseillé SOCOREC. Nous apprécions particulièrement la souplesse et la réactivité de ses conseillers lors de l’instruction d’un dossier, des réponses apportées et du montage financier proposé. Les délais sont beaucoup moins longs que dans les autres établissements financiers. SOCOREC a aussi tissé des liens forts avec SYNALIA : c’est donc plus facile d’avoir un interlocuteur financier… coopératif ! 

Seule on va plus vite, ensemble on va plus loin !

 

#TEMOIGNAGE Ce proverbe africain résume l’itinéraire d’Alexandra Nunes de Castro, passée du statut de salariée à celui de dirigeante. A 39 ans, elle vient d’acquérir son deuxième institut PASSION BEAUTE, accompagnée par le groupement et SOCOREC.   

Qu’est-ce qui vous a séduit dans l’univers de la beauté ? 

La polyvalence ! Après un BAC scientifique et un BTS Esthétique et cosmétique, je suis recrutée en 2004 par un institut qui passe sous l’enseigne PASSION BEAUTE. J’y vois l’opportunité d’élargir mon champ de compétences en mettant en place l’informatisation des stocks, tout en suivant des formations sur les dernières innovations des marques. Mon dynamisme et ma soif d’apprendre convainquent ma patronne de me nommer responsable d’une, puis deux, puis trois boutiques. Entre 2011 et 2016, le rythme est effréné entre la gestion des équipes, des stocks et la comptabilité. Lorsque ma responsable me propose de racheter l’institut de Château-Thierry, j’hésite longuement avant d’accepter. Et je comprends vite que la vie d’un chef d’entreprise ressemble à des montagnes russes.  

 Quelles difficultés rencontrez-vous lors de ce premier rachat ? 

A cette époque, le groupement PASSION BEAUTE est en pleine restructuration et je ne connais pas SOCOREC. Je suis seule, inexpérimentée, mais je finis par décrocher un prêt initiative auprès de la région et un financement bancaire. Mon projet est mal ficelé, mon besoin en fonds de roulement sous-estimé et le contexte extérieur défavorable :  manifestations des Gilets jaunes, puis travaux de voiries devant mon institut et crise sanitaire.  Malgré les nuits d’angoisse, je ne lâche rien : je mets en place le click and collect et je fais moi-même les travaux de rénovation de mon institut. J’apprends à transformer les difficultés en nouvelles opportunités. 

 Qu’est-ce qui vous a motivé pour racheter le deuxième institut à La Ferté-sous-Jouarre ? 

Cette fois, je suis soutenue et accompagnée par des experts du réseau PASSION BEAUTE qui me font également connaître SOCOREC et ses solutions de financement. Je découvre des professionnels bienveillants, disponibles, à l’écoute et très pédagogues, prenant le temps de m’expliquer des termes que je ne connais pas. SOCOREC me fait confiance et m’accorde un prêt avec un an de différé, ce qui serait très difficile dans tout autre établissement financier. J’aurais aimé avoir connu SOCOREC dès le début de mon aventure entrepreneuriale. 

 

« Le prêt participatif SOCOREC : une arme de développement massif »

 

 

#TEMOIGNAGE En 20 ans, Pascal Beranger a connu un développement rapide de son activité puisqu’il est à la tête de seize magasins KRYS. Pour l’accompagner dans son succès : la confiance toujours renouvelée de SOCOREC et son financement phare, le prêt participatif. 

Quelles étaient vos principales difficultés lors de la reprise de votre premier magasin KRYS ? 

En 2003, je n’avais aucun apport personnel, le magasin que je souhaitais reprendre n’était pas encore rentable et les établissements bancaires refusaient de s’engager. Les propriétaires cédants m’ont alors mis en relation avec le groupement KRYS qui connaissait bien SOCOREC. Très vite, un montage financier a été trouvé. SOCOREC m’a accordé un prêt participatif pour renforcer mes fonds propres et un prêt classique. Un gage de confiance qui m’a permis de lancer mon business. 

 Quelles sont les principales différences entre SOCOREC et les établissements bancaires classiques ? 

J’ai d’abord été séduit par la qualité de mes interlocuteurs : toujours présents tout en gardant la bonne distance, pragmatiques puisqu’ils connaissent bien le commerce, et déterminés à trouver des solutions. J’apprécie aussi leur réactivité quand des établissements bancaires classiques mettent parfois plusieurs mois à répondre. Lorsqu’une opportunité de rachat se présente, j’ai besoin d’une réponse rapide pour débloquer des fonds.  

En quoi le prêt participatif SOCOREC est-il une des clefs de votre réussite ? 

En 20 ans, j’ai fait l’acquisition de seize boutiques. Ce développement rapide a nécessité à chaque rachat un renforcement de trésorerie. Le prêt participatif SOCOREC permet de consolider les fonds propres et de rassurer les banques pour finaliser un montage financier. Pour moi, le prêt participatif SOCOREC est donc une arme de développement massif. 

Quels sont vos projets pour les années à venir ? 

J’ai emprunté ma devise à celle d’HEC : apprendre à oser et à s’entourer. J’ai toujours l’ambition de me développer. C’est ma passion et je ne me donne pas de limite. J’ai formé à mes méthodes deux collaborateurs que j’associe à hauteur de 20% à tous mes projets depuis 10 ans. Et c’est à SOCOREC que je continuerai de confier les montages financiers. Il ne faut jamais oublier qui vous a aidé en premier. 

 

Comprendre votre projet bien au-delà des chiffres

 

 

#TEMOIGNAGE Reprise de négoce ET de l’outil industriel : trop complexe pour les établissements bancaires. Pour financer leur projet global, Laurent Delhay et ses deux associés trouvent alors chez SOCOREC et le CREDIT COOPERATIF des interlocuteurs ouverts et réceptifs.   

Comment êtes-vous passé du statut de salarié à celui d’associé ? 

J’ai été dirigeant mandataire de GEDIMAT-GRANVILLE MATERIAUX pendant trois ans pour optimiser l’organisation de l’entreprise. Le groupement GEDEX et moi-même avions le même objectif :  reprendre l’activité mais je ne voulais pas être seul aux commandes. En 2021, j’ai proposé à deux piliers de l’entreprise, le directeur commercial et le directeur informatique, de s’associer avec moi. Nous avons beaucoup échangé sur ce changement de statut et les impacts sur notre vie familiale. En 2022, nous avons sauté le pas : les trois associés détiennent 82 % du capital de l’entreprise et le groupement GEDEX 18%. 

Quelles étaient les principales difficultés pour financer cette reprise d’activité ? 

SOCOREC et le groupement GEDEX, qui est fier de redonner à ses collaborateurs leur autonomie capitalistique, nous ont accordé des prêts pour renforcer nos fonds propres. Mais nous voulions reprendre à fois le négoce de matériaux de construction et l’usine de fabrication de blocs béton et de longrines sur mesure. Les établissements bancaires classiques se montraient frileux : ils refusaient de financer les stocks ou l’outil industriel dont la durée de vie est à mi-parcours. Or, nous avions besoin d’un financement pour l’ensemble du projet. La visite sur site du directeur général de SOCOREC a été déterminante. 

En quoi l’approche de SOCOREC est-elle différente des établissements bancaires classiques ? 

Pour SOCOREC, l’évaluation d’un projet n’est pas qu’une affaire purement comptable. C’est aussi une bonne compréhension du dossier et une relation humaine basée sur la confiance. Le montage financier était complexe entre le CREDIT COOPERATIF, le groupement GEDEX et SOCOREC mais nous sommes parvenus à un accord. Pendant tout le processus, SOCOREC est restée à l’écoute, toujours accessible et réactive. C’est aussi cela la force de SOCOREC : s’investir pleinement dans la relation client.  

Partager le même ADN, un gage de réussite

 

 

#TEMOIGNAGE  Complémentaires. C’est ainsi que se définissent Jean-Luc Sfez, associé gérant du groupe DSA (audit et conseil) et Franck Jaulneau, directeur général et fondateur de Elegant Properties Collection qui compte quatre établissements hôteliers. Complémentaires et bien accompagnés puisque les associés peuvent compter sur BEST WESTERN et SOCOREC pour leurs projets.  

Comment êtes-vous passé de l’univers de la comptabilité et de l’audit à celui de l’hôtellerie ? 

Jean-Luc Sfez : Depuis la création du groupe DSA, nous accompagnons personnellement des dirigeants propriétaires de leur entreprise. Ma première expérience avec Franck Jaulneau date de l’acquisition d’un hôtel en liquidation judiciaire à Megève, rénové et revendu quatre ans plus tard à un groupe hôtelier. Nous sommes désormais quatre associés au sein du groupe Elegant Properties Collection, fondé et dirigé par Franck Jaulneau.  

Aujourd’hui le groupe est propriétaire de quatre établissements hôteliers. Quels sont les facteurs de réussite d’un projet ?  

Franck Jaulneau : Une absence d’ego ! Jean-Luc SFEZ et moi-même sommes très complémentaires. Nous avons chacun nos champs de compétences et d’expertises mais nous sautons souvent la barrière pour aller dans le pré carré de l’autre et faire des suggestions. Nous sommes au service d’un projet et non d’une ambition personnelle. 

Comment avez-vous connu SOCOREC ? 

Franck Jaulneau : Nos hôtels sont affiliés à Best Western qui, dès le début de la crise sanitaire, a proposé des webinaires sur des thématiques variées à ses adhérents. C’est lors d’un webinaire sur le financement de projet que j’ai découvert SOCOREC.  A cette époque, nous voulions acheter le Grand Hôtel d’Orange. J’ai échangé avec une responsable Best Western qui connaît bien SOCOREC, une société de financement très différente des établissements bancaires classiques. 

Jean-Luc Sfez : Le poids de la réglementation bancaire pèse sur les pratiques des établissements. Tout relève de ratio d’endettement, excess cash-flow, niveau de risque sans aucune dimension humaine.  Mon premier contact avec Nolwenn, chargée de financement chez SOCOREC, m’a inspiré confiance. Elle s’est réellement intéressée au projet. Après une analyse approfondie, elle était prête à le défendre en comité de crédit comme s’il s’agissait de son propre établissement. SOCOREC a le même code génétique que nous : bien connaître ses clients, comprendre ses problématiques et apporter des solutions. 

Best Western et SOCOREC vont-ils accompagner vos futurs projets ? 

Franck Jaulneau : Nous avons l’ambition de racheter et de rénover plusieurs établissements hôteliers et d’en faire des lieux d’exception. Ceux de demain seront tous affiliés à Best Western. C’est un groupement qui connaît chaque hôtel. Dès le début de la crise sanitaire, il a soutenu les hôteliers avec des webinaires pour mieux les accompagner au quotidien et créé une école hôtelière en ligne.  Avec SOCOREC, nous avons une relation exceptionnelle, à la fois professionnelle et humaine. Nous avons envie de grandir avec des partenaires en qui nous avons confiance et qui nous font confiance. 

Accompagner des projets complexes

 

 

#TEMOIGNAGE  Frédéric Walle aime conjuguer passé, présent et futur durable. A 40 ans, ce propriétaire de cinq magasins U Express a commencé en mai 2022 les travaux de réhabilitation d’une friche industrielle à Vernaison, au Sud de Lyon, pour y implanter un supermarché U de 1 000 m2. Un projet ambitieux et complexe soutenu par SOCOREC. 

Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce projet de friche industrielle ? 

Les Français ont un ras-le-bol croissant de voir l’entrée des villes, même les plus petites, enlaidies par le pullulement d’enseignes et de pancartes.  La friche industrielle de l’usine textile de Vernaison est au cœur de la commune. En réhabilitant le patrimoine historique, nous revitalisons le centre-ville et nous embauchons de la main-d’œuvre locale. Nous favorisons aussi le développement de circuits courts avec des agriculteurs et des producteurs de proximité pour proposer des produits de qualité, des rayons de boucherie, charcuterie et fromagerie à la coupe et une boulangerie artisanale pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs.  

Pourquoi le montage financier de ce projet est-il complexe ? 

Je suis un nouvel associé du réseau Système U et j’étais sous-capitalisé pour monter ce projet. Les banques n’étaient pas enclines à me faire confiance pour m’octroyer un prêt. L’ingénierie financière du groupement m’a alors mis en contact avec SOCOREC que je ne connaissais pas. La rencontre avec son directeur général a été déterminante : il était persuadé de la qualité du projet. Sa bonne connaissance du réseau Système U et ses conseils stratégiques m’ont permis de revoir toute l’architecture capitalistique et financière du projet. 

Quels sont les soutiens financiers apportés par SOCOREC ? 

SOCOREC est un puissant levier financier. Grâce à son prêt participatif, j’ai renforcé les quasi-fonds propres de ma holding. Les banques étaient rassurées par le montant de mon apport personnel et par la réputation de solidité de SOCOREC. J’ai également obtenu un prêt classique pour ma société d’exploitation, ce qui m’a permis de diminuer l’exposition aux risques auprès des banques. Sans SOCOREC, je n’aurais jamais pu monter ce projet. C’est le partenaire indispensable pour offrir un tremplin à des projets porteurs d’avenir. 

 

 

La confiance, un investissement essentiel

 

#TEMOIGNAGE  Après avoir repris une entreprise, Christopher Quillet est propriétaire, à 29 ans, du magasin SUPER à Étrépagny, en Normandie. La raison de son succès ? Des relations de confiance construites pas à pas.   

Comment êtes-vous passé de salarié à chef d’entreprise ? 

J’ai toujours eu envie d’être chef d’entreprise. Cette motivation profonde m’a servi de guide pour mes études et mon parcours professionnel. Après mon diplôme dans une école de commerce, j’ai intégré la grande distribution et j’ai gravi tous les échelons chez Système U.  C’est aussi un état d’esprit, car il faut du courage, de la conviction et de la détermination pour devenir entrepreneur. Et c’est enfin de belles rencontres, celles qui vous mettent en confiance et vous font grandir. 

 Quelles ont été les rencontres déterminantes dans votre parcours ? 

Mes anciens patrons, propriétaires de plusieurs magasins U, ont cru en moi. Ils m’ont confié un poste de direction, transmis leur expérience et leur savoir-faire. Je leur ai apporté un regard neuf et mon dynamisme pour contribuer à pérenniser leurs entreprises. Puis, ils m’ont inscrit à une formation interne pour passer de directeur à propriétaire de magasin et devenir associé Système U. C’est en faisant mes preuves que le lien de confiance s’est construit jour après jour et m’a permis d’accéder à un vaste réseau. C’est ainsi que j’ai pu saisir l’opportunité de reprendre un magasin en Normandie et connaître SOCOREC, un interlocuteur atypique, pour m’accompagner dans le financement de mon projet. 

Qu’est-ce-qui distingue SOCOREC d’un autre établissement financier ? 

Le lien humain est à la fois simple, fluide, concret. Mes interlocuteurs sont des spécialistes du commerce associé. Nous parlons la même langue. Ils connaissent les difficultés rencontrées, les leviers à activer et les solutions personnalisées à mettre en place.  Je suis jeune, sans patrimoine, et j’ai conscience que le risque était élevé. Mes interlocuteurs SOCOREC ont cru en moi. Avec eux, j’ai aussi partagé mes craintes, mes doutes et mes ambitions. Nous avons noué une relation de confiance réciproque qui va bien au-delà d’un engagement financier. Cette valeur humaine-là a une saveur toute particulière et je m’en souviendrai toute ma carrière.